Passer une IRM

Qu’est-ce qui se cache derrière ces trois lettres : IRM? Elles sont l’abréviation de: Imagerie par résonance magnétique. Un médecin peut la prescrire à un patient qui souffre souvent de vertiges, de maux de tête ou d’autres troubles encore. Passer une IRM n’est pas un fait hors du commun puisque plus d’un million d’IRM sont pratiquées annuellement en France, pays doté de plusieurs centaines d’appareils IRM. Celle-ci permet de voir avec plus de précisions certaines parties du corps, dont le système nerveux central, les vaisseaux sanguins et les articulations. Passer une IRM peut faire peur, comme tout ce qui est inconnu, mais ceux qui l’ont fait témoignent que ce n’est pas une expérience si douloureuse ou si angoissante que cela.

Avant de passer une IRM

C’est vrai qu’on angoisse généralement à la pensée de passer une IRM. En réalité, voilà ce qui se passe quand – enfin! – on réussit à décrocher un rendez-vous: après quelques formalités administratives, on a droit à un questionnaire du genre :  » Êtes-vous claustrophobe? Avez-vous subi une intervention cardiaque avec pose de valve ou de stimulateur cardiaque? Êtes-vous enceinte? (à une femme naturellement) etc. » Ensuite, on doit enlever tout objet métallique qui risque de fausser les résultats et on met une blouse après avoir retiré son haut. Voilà les premières étapes lorsqu’on va passer une IRM.

Passer l’IRM proprement dite

Avant de passer une IRM, on reçoit une injection d’anxiolytique, puis, on s’allonge sur une table et la tête est posée sur une structure en demi-cercle. Un casque placé devant le visage s’emboîte dans la structure repose-tête pour immobiliser la tête sans gêner la respiration. La table glisse en partie vers le tube-tunnel, c’est là qu’on peut dire qu’on est vraiment en train de passer une IRM. La séance est terminée et la radiologue commente les images vues.

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